Les plus germanophiles d'entre vous auront traduit cette simple phrase quasi instantanément. Pour les autres, résumons: gavade de poudre décennale dans une ambiance désertique lunaire de premier choix. Une bonne journée quoi !
Aaaah ! Les jours se suivent et ne se ressemblent pas toujours, heureusement ! Après s'être fait tremper jusqu'à l'os hier puis gelés par la tempête d'un sommet perdu dans un brouillard aussi épais que la couche de graisse de Guy Carlier, on s'offre une journée "mixte": du très grand ski au dessus de la limite forestière sur le Galtjoch, incroyable belvédère Tirolien; entre les arbres, c'est de la croûte allant de difficilement à totalement inskiable, la pluie et les températures clémentes ayant fait des ravages...
Aaaah ! Les jours se suivent et ne se ressemblent pas toujours, heureusement ! Après s'être fait tremper jusqu'à l'os hier puis gelés par la tempête d'un sommet perdu dans un brouillard aussi épais que la couche de graisse de Guy Carlier, on s'offre une journée "mixte": du très grand ski au dessus de la limite forestière sur le Galtjoch, incroyable belvédère Tirolien; entre les arbres, c'est de la croûte allant de difficilement à totalement inskiable, la pluie et les températures clémentes ayant fait des ravages...
Heureusement, en Autriche, on sait accueillir le touriste: une bergerie d'alpage transformée en petit refuge l'hiver se trouve dotée d'un gardien bien urbain: il a tracé la montée avec sa motoneige pour refaire son stock ! Voilà une super piste de bobsleigh providentielle à déguster à la descente !
L'ascension ? Elle ne s'est pas parfaitement déroulée, la faute à votre serviteur. Un seul être vous manque (en l'occurrence la carte Autrichienne de la vallée) et tout est dépeuplé: un peu de ski de combat dans de la neige lourde et très (très !) profonde en forêt nous aura fait perdre du temps et de l'énergie. Au final tout est rentré dans l'ordre (après quelques injures à l'encontre de la neige, de la carte, des sapins, bref...) et on a pu se turbo-gaver dans les pentes sommitales... La suite en images !
L'ascension ? Elle ne s'est pas parfaitement déroulée, la faute à votre serviteur. Un seul être vous manque (en l'occurrence la carte Autrichienne de la vallée) et tout est dépeuplé: un peu de ski de combat dans de la neige lourde et très (très !) profonde en forêt nous aura fait perdre du temps et de l'énergie. Au final tout est rentré dans l'ordre (après quelques injures à l'encontre de la neige, de la carte, des sapins, bref...) et on a pu se turbo-gaver dans les pentes sommitales... La suite en images !
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